L'Ovni de Socorro par le sergent Lonnie Zamora (1964)
L'Ovni de Socorro par le sergent Lonnie Zamora (1964)
Les autorités scientifiques et le pouvoir politique ont toujours affecté le plus grand scepticisme face aux apparitions d’ovnis. Néanmoins, officieusement, de nombreux rapports ont été réalisés. Ils admettent que certains témoignages sont inexplicables. C’est le cas de celui du sergent Zamora, policier du district de Socorro, au Nouveau-Mexique. Son témoignage est considéré comme l’un des plus sérieux jamais enregistrés sur l’apparition d’un ovni.

De gauche à droite : Zamora, Burns du FBI, le major H. Mitchell (AFMDC), Coral Lorenzen (APRO) et le sergent Castle de la Police Militaire
Cela est arrivé à Lonnie Zamora, un officier de police, près de Socorro, au Nouveau Mexique, le 24 Avril 1964. Ce cas bien documenté est un classique. Le Projet Blue Book, le FBI, le Strategic Air Command ont tous déclassifié les documents qui montrent que pour eux, cette rencontre du troisième type ne fait pas de doute. L'incident de Socorro reste l'un des cas d'ovnis les plus remarquables de tous les temps. Enquêté de manière intensive et analysé en profondeur par certains des esprits les plus brillants de l'époque, il constitue notamment le seul cas inexpliqué de Blue Book impliquant un appareil posé à terre et ses occupants.
Plusieurs facteurs placent ce cas au-dessus de la moyenne des observations d'ovnis. Le témoin principal était un policier, et un individu hautement digne de confiance. Une certain nombre de témoins secondaires déclarent également avoir observé telle ou telle partie de l'événement, qui eut lieu, de manière notable, à faible distance et en plein jour. Mais, peut-être le plus important, l'événement laissa derrière lui des indices physiques, des trous dans le sol et des broussailles carbonisées, qui suggèrent fortement qu'un objet physique a bien été présent à l'endroit supposé de l'atterrissage. Un autre facteur qui jette sur ce cas une lumière favorable est ce qui arriva immédiatement après l'observation. A peine l'objet avait-il été perdu de vue qu'une enquête fut entamée, la première d'une longue série.
L'observation

Lonnie Zamora en 1964
Il abandonne donc la poursuite de la Chevrolet et se dirige vers l’endroit où la flamme a paru tomber. Il roule ainsi, sur un chemin défoncé, vers une colline où il lui semble que la flamme s’est éteinte. Au sommet de la colline, Zamora aperçoit un objet métallique, brillant comme de l’aluminium, qu’il prend pour une épave de voiture. Près de cet objet, deux humanoïdes, vêtus d’une combinaison blanche. Le policier, qui se trouve à 200 m, les prend pour des étrangers et accélère dans leur direction pour leur porter secours, croyant à un accident.

Reconstitution des évènements
Comme le policier se rapproche, il se rend enfin compte que l’objet métallique n’est pas du tout ordinaire mais de forme ovale. Il repose sur des sortes de poutrelles métalliques. Le terrain devient si accidenté que le policier doit quitter son véhicule et continuer à pieds. Il prend alors contact avec son quartier général et, par radio, signale qu’il se dirige, vers l’engin inconnu. A peine est-il sorti de son véhicule qu’il entend à nouveau un grondement et quelques coups. On aurait dit que quelqu’un claquait une porte ou tapait sur du métal avec un marteau. Quand les coups cessent, le hurlement s’amplifie. Lonnie Zamora voit alors l’engin s’élever dans le ciel, comme poussé par une flamme bleue et orange. Un nuage de poussière accompagne ce mouvement. Prudent, le policier regagne l’abri de sa voiture. Il a encore le temps de voir la forme ovale se mettre à l’horizontale et s’élever jusqu’au niveau de la voiture. Les nerfs à vifs, effrayé par le hurlement, le policier songe à fuir pour chercher des renforts. Il jette un dernier regard sur l’engin et aperçoit, sur la surface entièrement lisse, une sorte d’insigne marqué en rouge. Puis, pris de panique, il court se réfugier derrière le sommet de la colline. Quand le grondement s’atténue, une sorte de grincement le remplace, qui passe du grave à l’aigu pour enfin s’arrêter.

Après tout ce vacarme, le silence retombe enfin sur ce paysage semi-désertique. Zamora voit alors l’objet métallique s’élever très haut dans le ciel, obliquer vers les montagnes et disparaître. Au même moment, il sursaute car la radio de la Pontiac grésille. C’est le sergent Chavez qui cherche à joindre son collègue.
Zamora lui explique rapidement qu’un incident étrange vient de se produire et en l’attendant dessine ce qu’il a vu. Il se souvient parfaitement de l’étrange insigne sur la paroi de l’engin : une sorte de flèche rouge dans un cadre rouge.
Quand Chavez arrive, il comprend que Zamora n’est pas dans son état normal : »Que se passe t-il Lonnie ? Tu en fais une tête ! Tu es tout blanc ! On dirait que tu as vue le diable … »
« C’est que je l’ai peut-être vu ! », répond le policier, encore sous le choc de l’émotion.
Il montre à son collègue l’endroit où se trouvait l’engin. Quelques broussailles encore fumantes achèvent de s’y consumer. Sur le sol, des marques sont visibles.
Les enquêteurs officiels dépêchés sur les lieux relèveront quatre « trous » identiques et quatre marques de feu. La position des trous est asymétrique ; pourtant leur inspection révèlera qu’ils devaient assurer une stabilité parfaite à la structure qu’ils supportaient.
La pression nécessaire pour faire de tels trous a été estimée à plus d’une tonne par emplacement : beaucoup trop pour que Lonnie Zamora ait pu les faire lui-même.
Un examen minutieux montrera, en outre, que la flamme vue par le policier était bien au centre de l’engin, lequel devait avoir une forme circulaire.
Ordinairement, les autorités américaines refusent de prendre en compte les observations d’ovnis rapportées par un seul témoin. Le cas de Lonnie Zamora est une exception à cette règle. En effet, son témoignage a été jugé suffisamment crédible pour déclancher une enquête en profondeur. Son témoignage est d’ailleurs toujours considéré aujourd’hui comme l’un des plus solides en faveur de l’existence d’ovnis.


Illustration de l'engin observé par le sergent Zamora (Socorro the Zamora Sighting):


A/ Zamora entame sa poursuite B/ Voyant des flammes, il tourne C/ La voiture a du mal à monter dans le chemin défoncé D/ Il aperçoit l'objet métallique, arrête sa voiture et voit 2 humanoïdes E/ Il marche vers l'objet F/ Effrayé par le hurlement, il s'abrite sur une crête
Précisions et autres commentaires :
Distant d’environ 250 m, l’objet ressemblait à une automobile posée sur son champ et remarqua à proximité de l'OVNI une ou deux silhouettes portant des combinaisons blanches : "L'une d'elle, me sembla-t-il, s'est retournée et a regardé ma voiture, comme si je l'avais surprise". Pensant qu'il s'agissait d'une voiture renversée, Zamora informa le shérif par radio qu'il se rendait sur les lieux de l'accident.
En raison des vallonnements du terrain, il perdit un moment l'objet de vue, et ne put l'observer à nouveau qu'après avoir pris un tournant et gravit une côte. A son grand étonnement, il se trouva alors en surplomb au-dessus d'un étroit ravin au fond duquel reposait, exhaussé sur des béquilles, un engin métallique blanc ovoïde. Zamora n'était pas à plus de 45 mètres de l'engin, ce qui lui permit de distinguer sur sa coque un sigle bizarre, rouge, carré, d'environ 40 cm de côté.
Zamora entendit soudain une forte déflagration venant de l'intérieur. Craignant que l'objet n'explose, Zamora fit demi-tour et alla se mettre à l'abri derrière sa voiture. En s'enfuyant il regarda par-dessus son épaule et vit des flammes sortir du vaisseau lumineux et vit l'appareil grimper à la verticale en émettant un curieux vrombissement puis il adopta une course horizontale : "Il avançait en ligne droite et à altitude constante, à 10 ou 15 pieds du sol [3 ou 4.5m]. Il est passé à près d'un mètre au-dessus du dépôt de dynamite...l'objet allait très vite, il a décollé aussitôt, en pleine nature et disparut dans la direction du canyon des Six Milles".
Le sergent M.S.Chavez de la police d’état du Nouveau Mexique arriva sur place peu après. Il s'était trompé de chemin et n'avait pas vu l'objet décoller. Il nota par contre que son collègue était "extrêmement secoué" : "Ca ne va pas, Lonnie ? On dirait que tu as vu le diable", lui dit Chavez. "Cela se pourrait bien" lui répondit Zamora.
Descendant sur le site, Zamora et Chavez découvrirent des empreintes sur le sol et des buissons d'épineux qui fumaient encore à l'endroit où l'OVNI avait décollé.
Les deux policiers préviendront des enquêteurs et le site sera passé au crible par les enquêteurs de la base de Wright-Patterson.
Plusieurs jours après l'incident, à la demande du Blue Book, le Dr.Hynek visita le site et interrogea les deux témoins : "j'ai pu contrôler la présence des traces d'atterrissages et de plantes carbonisées". En procédant à une analyse détaillée du site, Hynek découvrit quatre empreintes interprétées comme les marquées laissées par les plots d'un train d'atterrissage : "les diagonales du quadrilatère décrit par les quatre marques dans le sol se coupaient presque à angle droit, [...] le milieu de chaque empreinte se trouvant sur la circonférence d'un cercle, dont le centre coïncidait virtuellement avec la principale marque de calcination sur le sol. Sous certaines conditions, le centre de gravité de l'engin se serait trouvé directement au-dessus du centre du cercle, ce qui rend encore plus significative la présence de la zone brûlée".
Plusieurs autres empreintes plus petites, peu profondes et circulaires furent découvertes et correspondraient peut-être aux traces laissées par les créatures aperçues par Zamora.
Hynek revint plusieurs fois sur le site pour poursuivre son enquête de crédibilité sur Zamora et apprit par hasard qu'il y avait eu un autre témoin, non identifié, qui s'était arrêté à la pompe à essence pour faire le plein, juste au Nord de la ville. Il avait raconté au pompiste qu'il avait vu "un aéronef bizarre qui semblait en difficulté et tentait de se poser". Il avait dit qu'il devait avoir des ennuis car il avait vu une voiture de police se porter à sa rencontre en roulant à travers champs.
Selon lui, ce n'était pas un avion courant. Ce récit confirme l'observation de Zamora. Hynek tenta de lancer une procédure d'identification du deuxième témoin, mais le service de renseignement de l'Armée de l’air et le FBI n'étaient pas du tout intéressé par cette histoire d'OVNI.
Hynek affirmera par la suite : "c'est l'une des apparitions les plus importantes depuis que l'Armée de l’air s'intéresse au sujet".

_____, Socorro NM, _____, Officier DP Socorro depuis 5 ans, telephone bureau 835-0941, maintenant décalé de 14:00 à 22:00.

La trace présente sur les lieux de l'observation
Pendant que l'appelait Nep, je pouvais toujours voir l'objet. L'objet semblait monter doucement, et "devenir petit" en s'éloignant rapidement. Il a semblé éviter de justesse le Canyon Box ou la Montagne du Canyon de Six Miles. Il a disparu en passant par-dessus la montagne. Il n'avait pas de flamme ou quoi que ce soit d'autre lorsqu'il se déplaçait au-dessus du sol, ni de fumée ou de bruit.
Le document top secret dé-classifié
Voici un document secret des Etats Unis, obtenu suite au Freedom Of Information Act (FOIA).
UN OVNI DECOLLE DANS LE DESERT, SOCORRO, NOUVEAU MEXIQUE 1964
Ce télétype de la section de communications du SAC (Strategic Air Command) discute une rencontre rapprochée avec un OVNI décollant du plancher du désert, observé à environ 100 pieds de distance et à une altitude de 25 pieds au-dessus de la scène. L'objet non identifié, qui a décollé dans un déchaînement de flammes bleuâtres et oranges, est décrit comme étant blanc, "... de forme ovale, semblable à un ballon de rugby, probablement de 20 pieds de long, et avait des insignes rouges d'environ trente pouces de haut porté sur l'objet." Le SAC signale que les militaires conduisent actuellement une opération connue sous le nom de "Cloud Gap, "mais on ne sait pas "... si l'incident se relie à Cloud gap."
Il semble que le site ufologique américain qui a publié récemment ce document n'ait pas fait un rapprochement évident. Ce document n'est ni plus ni moins qu'une nouvelle pièce rendant encore plus crédible le cas de la rencontre rapprochée de Lonnie Zamora, un cas extrêment célèbre dont vous trouverez les détails sur mon site.
Titre:UNIDENTIFIED FLYING OBJECT, SOCORRO, N.M.
Destinataire: DIRECTEUR DU FBI (J. Edgar Hoover)
Auteur: SAC (Special Agent In Charge), ALBUQUERQUE 62-NEW
Date: 24 Avril 1964
Longueur: 2 pages
Classification: Aucune indication, mais mention URGENT


http://www.ufologie.net/htm/foia57f.htm
Documentaire en Anglais sur l'affaire
En 1977, le Dr Leon Davidson a fait une interprétation du symbôle de l’Ovni de Socorro (observation du policier Lonnie Zamora 1964).



Références :
Lorenzen, C. E. Flying saucers: The Startling Evidence of the Invasion from Outer Space. New York: Signet, 1966.
Olsen, Thomas M. (ed). The Reference for Outstanding UFO Reports. Riderwood, Maryland: UFO Information Retrieval Center, Novembre 1966.
Powers, W. T. "The Landing at Socorro," The Humanoids, Charles Bowen (ed), London: Futura, 1974.
Quintanilla, H. "Project Blue Book's Last Years," The Anomalist: 4, automne 1966.
Quintanilla, H. "The Investigation of UFO's," Studies in Intelligence, vol. 10, n° 4, automne 1966.
Larry Robinson, "Solving the 1964 Socorro NM UFO Case," http://php.indiana/edu/~lrobins/howisoco.htm.
Stanford, Ray. Socorro 'Saucer' in a Pentagon Pantry, Austin: Blueapple Books, 1976.
Steiger, Brad (ed). Project Blue Book. New York: Ballantine 1976.
OVNI: le projet Blue Book, Belfond 1979, pp. 88-101
Brooks, Courtney G., James M. Grimwood, et Loyd S. Swenson. Chariots for Apollo: A History of Manned Lunar Spacecraft, NASA Special Publication - 4205 in the NASA History Series, 1979
Clark, J. High Strangeness: UFOs from 1960 through 1979, The UFO Encyclopedia, Volume 3, Detroit: Omnigraphics, 1996.
Stekel, Peter. "Don Piccard—50 Years of Ballooning Memories," Balloon Life, 1997.
"Socorro / Zamora UFO Incident - 1964", CUFON, 1999
Huyghe, Patrick. "The Best UFO Case Ever? A Review and Update of the Socorro Incident", The Anomalist n° 10, printemps 2000 - Présentation de témoignages corroborants ou non, de l'historique des enquêtes, et des différentes théories, notamment celle d'un ballon. Brève interview de Zamora revenant sur sa déclaration d'avoir vu des personnages.
Moseley J., Saucer Smear, 15 juillet 2000 - 1ère mention de l'hypothèse du prototype à 3 pieds Surveyor enoyé depuis White Sands le 24 avril 1964 via un hélicoptère (mais entre 7 h 45 et 11 h 45, d'après le registre).
"The Socorro, NM UFO - Explained?", New Mexicans for Science and Reason - Proposition d'explication par un vol d'hélicoptère documenté
Un ovni elliptique laisse des traces (Ufologie.net)

Tout en poursuivant une voiture en excès de vitesse vers 17:45, l'officier Lonnie Zamora du service de police de Socorro a entendu un grand bruit et a vu une flamme dans le ciel au sud-ouest. Pensant qu'un entrepôt de dynamite dans cette zone avait peut-être explosé, il a renoncé à la poursuite de la voiture et s'est dirigé vers les lieux. Pendant qu'il s'approchait sur une route non goudronnée, il vit un objet elliptique reposer sur des pieds dans un creux du terrain. Des insignes ou emblèmes rouges étaient visibles du côté qui était visible pour lui, et se tenant près de l'engin, il pu voir deux êtres d'aspect humanoïdes.
Quand le hurlement s'est arrêté, il a entendu un bruit semblable à un gémissement allant de la tonalité élevée à la basse tonalité, qui a duré environ une seconde. "puis," rapporte-t-il, "il y eut un silence complet... L'engin semblait alors se déplacer à 10 ou 15 pieds du sol et passa a trois pieds au-dessus de l'entrepôt de dynamite L'objet voyageait alors très rapidement. Il a semblé se diriger vers le haut, et décolla immédiatement à travers le paysage."
Elle a analysé également les fluides des plantes environnantes également affectées et expliqué à McDonald qu' "il y avait un certain nombre de matière organiques qu'ils ne purent identifier, mais essentiellement juste de la sève. Peu de temps après que nous ayons terminé nos analyses, du personnel de l'US Air Force a confisqué toutes les notes et échantillons et lui a interdit d'en parler". Aucun rapport d'analyse n'a été diffusé auprès du public.
Deux ans après cette observation, le Major Hector Quintanilla, Air Force Chief du projet Blue Book à l'époque de l'observation, confia à des agents du renseignement dans un dossier secret de la CIA que le cas de Socorro restait "perturbant". Il a conduit un certain nombre d'enquêtes auprès des autorités militaires pour tenter de trouver une explication mais en vain. "Il n'y a aucun doute sur ce que Lonnie Zamora vit un objet qui lui causa une très forte impression. Il n'y a aucun doute sur la fiabilité de Zamora. C'est un excellent policier, un élément exemplaire de sa profession, et un homme tout à fait compétent pour identifier un avion. Il est abasourdi de ce qu'il a vu, et franchement nous aussi. C'est le cas le mieux documenté de nos fichiers et nous sommes toujours incapable d'expliquer quel genre d'engin ou de stimulus à pu semer la panique dans l'esprit de Zamora."

Memo du FBI, document rendu public en 2001.
"The Investigation of UFOs", par le Major Hector Quintanilla, Jr., Studies in Intelligence, (CIA), 10(4), pp. 95-110, Automne 1966.
La liste des cas inexpliqués du projet Blue Book.
Mémo du FBI, de l'Agent Spécial en mission, Albuquerque, au Director, FBI, 28 Avril 1964.
Mémo du FBI, de l'Agent Spécial en mission, Bureau d'Albuquerque, au Directeur, 8 Mai 1964.
"Unidentified Flying Object, FBI, Socorro, Nouveau Mexique, 8 Mai 1964.
"Socorro Revisited", par J. Allen Hynek, fichiers du Project Blue Book, circa août 1964.
"Flying Saucers", numéro spécial du magazine Look, 1967.
Commentaires similaires de Hector Quintanilla dans "Project Blue Book's Last Years", dans Hilary Evans et Dennis Stacy, UFOs: 1947-1997: Fifty Years of Flying Saucers, John Brown éditeur, Londres, 1997, pp. 109-118.
"UFO Report, 24 April 1964", par Richard T. Holder, Capitaine de l'U.S. Army, dans Socorro El Defensor Chieftan, 28 avril 1964.
"The UFO Experience: A Scientific Inquiry", livre par J. Allen Hynek, Chicago, Henry Regnery, pp. 144-145, 1972.
"UFOs Explained", livre par Philip Klass, Random House éditeur, 1974.
Dossier de l'Air Force, fichers du Project Blue Book, National Archives.
"re: "fused sand" at Socorro site", lettre du Dr. James E. McDonald à Richard Hall, 5 Septembre 1968.
"The Hynek UFO Report", livre par J. Allen Hynek, New York, Dell Publishing Co., pp. 223-229, 1977.
Note: ce cas a "disparu" de la liste officielle des cas inexpliqués du projet Blue Book.
En complément de cette affaire de RR3:
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